Dérapage avec Pauline

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il y a 7 ans

Cet été, en août, j'ai rencontré une fille hors du commun, lors des fameuses Féria de Dax.

J'avais été contacté par une ancienne amie qui devait s'y rendre. Il y avait longtemps que je ne l'avais pas vu, elle était plutôt mignonne, et comme elle réside à Montpellier pour ses études, c'était une bonne occasion de se revoir. On se mit d'accord pour le camping. Beaucoup d'autres que nous y serons, l'ambiance y sera, et ce n'est pas tous les jours que l'on peut aller aux Feria. Devaient nous rejoindre pour l'occasion, deux autres copains, de la même promo que mon amie et moi. Vincent et Alex. Il était possible que mon amie amène une de ses copines d'e n f a n c e dont le mec fût partie en Bretagne sans elle. Il y aurait donc deux tentes. Les filles dormiraient ensemble, les hommes entre eux.

Nous devions d'ailleurs, nous « les hommes », apporter l'alcool. Je me disais que si mon amie et sa copine arrivent tard au camping, parce que cette dernière travaille, elles auraient bien envie de « se prendre une murge » en arrivant!! Lool. Il fallait donc prévoir large. Puis on était au Feria quand même.

Le jour des « retrouvailles » j'ai reçu un message de mon amie qui me donnait l'heure de son arrivée : 23H30 environ. Pourtant c'est bien à 23h qu'elles sont arrivées. En avance!! C'était parfait. Nous faisons les présentations avec cette inconnue dont notre amie nous a très peu parlé. A tort d'ailleurs. Pas qu'elle était sensationnellement belle, mais elle avait ce caractère réservé, cette timidité érotique, ce petit regard fuyant attendrissant. Seule pour le mois, tout était possible. Elle avait un beau petit cul rebondit, un string rouge en dentelle qui dépassait. J'ai eu l'occasion de le mater sans cesse et sans remords lorsque nous avons posé leurs tentes. Ses cheveux étaient châtains, quelques mèches mal faites. Ses yeux étaient marrons et sa bouche assez fine. Elle devait mesurer 1m65 et avait 21 ans. Après vingt minutes, peut-être trente, elles avaient eu le temps d'installer leurs affaires et de se changer. Mon amie portait un jean noir, des tongs, un léger pull qui laissait ses épaules nues. Notre invitée, elle, portait un pantalon blanc et un débardeur rouge, tout à fait adaptée aux Feria. Ses vêtements ont fait l'unanimité chez les mecs. Nous étions désormais plus intéressés par cette fille que par notre amie, qui pourtant était quand même plus jolie, et plus en forme.

Tous installés dans la grande tente, on a enfin commencé à boire. Les filles ont commencé par un whisky coca, bien dosé par Vincent. Pendant que je faisais le service, j'ai profité de cette occasion, pour demander à « Miss Feria » ce qu'elle faisait dans la vie. Elle m'expliquait qu'elle était étudiante et qu'elle travaillait le week-end. Je me place à ses cotés. Après trois verres de Wh-Co, pour tout le monde, déjà la chaleur montait dans la tente. La fatigue, le ventre presque vide... La conversation tourna vite au sujet épineux des couples. C'est là que j'ai pu apprendre que Pauline (puisque c'est son petit nom) vivait une relation compliquée, que son mec se permettait de sortir sans elle, de rencontrer du monde, alors que dès qu'elle faisait pareil, il piquait une crise de jalousie....Voilà, le genre de relation où le mec fait ce qu'il ne veut pas que sa copine fasse. Mon amie précisa que c'était d'ailleurs pour ça, qu'elle l'avait invité. Pour qu'elle puisse s'amuser et se lâcher un peu. Nous commencions à rire de tout et de rien. Je me rapprochais au fur et à mesure de Pauline. Une bouteille de Whisky était déjà m o r t e, et quelques regards s'échangeaient entre nous. J'ai senti que son mec devenait un fantôme dans son esprit. Elle ne pensait plus qu'à rire, se détendre, parler, ... être dans l'ambiance quoi. C'était une fille normale, après tout, avec qui j'ai senti une opportunité. En la serrant chaque fois un peu plus, j'apercevais son string blanc dépasser. Et un peu de ses fesses. Ouuuaaa. J'avais tellement envie de caresser cet espace de peau entre le bas de son dos et le haut de ses fesses.

On décida d'aller en ville, dans un bar, afin de voir un peu ou en était l'euphorie des fêtes. Sur le chemin, l'ambiance était relax. On marchait tous jovialement. Je m'amusais à me frotter à Pauline, pour la taquiner. Elle jouait le jeu. On se bousculait. Je savais à cet instant précis que je pouvais me la faire. On commença à se prendre par la main. Alex et Vincent discutaient avec notre « ancienne ». Mais j'ai bien vu que Alex gardait quand même un regard sur Pauline. Nous arrivons dans un bar. Alex et moi tenions Pauline bras dessus dessous, comme si elle avait été une vieille amie. Le bar était rempli. Les gens parlaient fort, la musique était à peine audible et pourtant présente. On réussit à trouver un coin, et on passe commande. Une tequila pour tout le monde. Et cul sec!!!Pauline s'exécuta. Non sans mal. Elle devint rouge. Plutôt rosie. Enfin, je la sentais détendue. Elle rigolait. Elle partait dans des éclats de rire qui aboutissaient de plus en plus à une caresse sur mon épaule ou sur une partie de ma cuisse. Je décidais de l'imiter. Mes mains se posèrent de plus en plus sur ses cuisses, mais toujours, au départ, de manière amicale. Mes mains ont vite étaient rejoins par celles d'Alex, qui se tenait sur son autre coté. Dans cette ambiance, on ne sait plus trop ce que l'on fait. Est arrivé le moment où Pauline avait chacune de ses mains sur une de nos cuisses. Notre amie décida de partir recommander de la tequila et Pauline en profita pour aller aux toilettes. Avec la file d'attente, on n'était pas prêt de la revoir. Notre amie revenant avec les verres bien avant qu'elle eu fini. Ayant compris mon manège avec Pauline, elle m'encouragea à l'aider à se détendre. A oublier, je cite : « son mec trop possessif »; « elle a besoin de respirer ». Elle finit par me dire qu'elle s'arrangerait pour nous laisser seuls dans la tente.

Je n'avais plus qu'une seule idée en tête. Me taper Pauline. Mais alors, y revenir autant que je pouvais. Elle était célibataire temporaire. J'étais sûr qu'en la prenant en levrette j'allais lui donner plus de plaisir que son mec. Il fallait que je la lui vole. Je voulais qu'elle le trompe, elle qu'elle aime ça. Elle réapparue, le visage rafraîchi par l'eau qu'elle a du se passer dessus. Elle s'assit en me jetant un regard de braise, et en me faisant un petit sourire. On bu nos verres cul sec. Pauline me pris par la main et m'entraîna danser. Au milieu de la foule, toute la clique nous a suivie. Elle ne dansait pas trop mal. Elle bougeait en rythme, ses fesses balançaient de gauche à droite. Alex fut le premier a l'encercler de ses bras, pendant que son cul, frottait sa braguette. Je ne pourrais pas dire si cela était volontaire ou si elle ne calculait pas ce qu'elle faisait. J'opterai pour la deuxième solution. Je bandais de la voir danser dans les bras d'Alex.

Je m'imaginais à sa place. Mettant mes mains sur ses hanches... Je crois que l'alcool faisait effet. Aussi bien pour elle, que pour nous tous. Mon amie est venue derrière moi, me donnant quelques coups de bassin. Je ne quitte pas des yeux Pauline, qui elle aussi ne cesse de me regarder. Elle se libère des bras d'Alex, puis vient danser juste devant moi. Un autre gars qui l'avait vu remuer, se colla derrière elle, reléguant Alex dans l'ombre. Je m'en foutais. Elle dansait entre nous deux. Le gars lui toucha le cul. Elle se laissa faire. Je savais qu'elle était bourrée. Et que moi aussi. Je devais profiter de la situation. Je m'approche d'elle et je l'embrasse. Elle me rend mon baiser en plaçant ses mains sur mon torse. Son haleine était délicieusement alcoolisée et sa langue si humide que je l'imaginais caresser ma queue. Elle vient se glisser près de mon oreille et me dit « je veux que tu t'occupe de moi ce soir ; j'ai besoin de tendresse ». Elle m'enlaça, et m'embrassa de nouveau avec plus de fougue. Je bandais comme un âne. Je pris mon air le plus sérieux pour lui répondre : « Je vais prendre soin de toi; tu peux compter sur moi ». Bien sûr je n'avais pas du tout l'intention de commencer une quelconque relation avec elle. Je voulais juste qu'elle me suce, et que je puisse la baiser. Et pour cela j'étais prêt a tout. On retourna à la table avec un verre de ricard. Les autres continuaient à danser.

On commença à parler, et l'alcool aidant, on parla de cul. Je lui demandais si ça se passer bien avec son mec, coté cul. Désinhibé, elle m'expliqua que son mec passait son temps à la filmer pendant qu'elle le suçait, ou pendant qu'ils baisaient. Elle avait l'impression de ne servir à rien à part satisfaire ses envies, souvent à son détriment. Je me disais que j'aurai bien voulu voir ces fameuses vidéos, et je cognais mon jean en l'imaginant me la sucer. Elle m'excitait. Qui aurait cru que cette fille, banale, vendeuse en grande surface, pouvait faire des vidéos de cul amateurs en privé?? Je pense aux clients qui doivent voir en elle, une pauvre fille à leur service, timide, qui pèse, pose des étiquettes prix, emballe. Peuvent-ils imaginer que derrière ces apparences de petite étudiante salariée, se cache une fille soumise qui fait la cochonne devant la camera de son mec. J'imagine qu'ils aimeraient tous pour la plus part être à la place du gars. Moi y compris.

Je l'invite à discuter dehors car il y avait vraiment trop de bruit à l'intérieur. Dehors ce n'était pas mieux, mais après quelques minutes de marche, on parvient à s'isoler des mouvements de population et des fonds sonores trop bruyants. Je vois à sa démarche qu'elle se repose sur moi, et que notre état alcoolisé, nous poussent a nous coller et nous soutenir. Je sens qu'elle n'avait plus aucune résistance. Quand on parlait, ses mots sortaient tels qui lui venaient à l'esprit. Elle ne pouvait plus se retenir. De ses paroles, s'échappait son envie de vouloir vivre sans rendre de comptes. Qu'elle voulait s'amuser sans que ça lui nuise. Je l'approchai de moi, et comme elle se laissait faire je l'embrassai en caressant sans vergogne ses seins et son cul. Mes mains se balade sur son corps et vont jusqu'à caresser ses fesses sous son pantalon. Des jeunes passent, amusés par la scène commence à commenter : « elle est pas farouche »; « Vas-y mon gars, elle est a toi »...

Pauline enjouée que l'on s'intéresse à elle, rétorque : « Pas de chance pour vous, ce soir je lui appartiens ». A eux d'ajouter : « Ouuuuuuuu » en continuant leur chemin; « Chanceux ».Une fois l'agitation passée, je lui demande en l'embrassant, toujours en la pelotant, si elle m'appartenait vraiment (J'avais une pensé pour son mec qui devait être loin d'imaginer que sa nana puisse dire à un autre qu'elle lui appartient, et qu'elle se fasse peloter dans une rue aux vues de tout le monde). Elle affirme d'un ton ivre qu'elle m'appartient, que comme je suis gentil et doux, elle veut me remercier. Des lors je l'amène sans qu'elle se rende compte du trajet au camping. On rentre dans la tente, et l'on reprend nos embrassades.

Mais il était temps pour moi, de passer des embrassades, aux préliminaires. Comme je voyais bien qu'elle ne contrôlait plus rien, je lui ai ôté son débardeur rouge puis son soutient gorge, sans une quelconque réticence. J'enlève mon t-shirt, ni vu ni connu. Elle commence à m'embrasser le torse. J'étais allongé sur les dos, elle se tenait au dessus. Mes mains malaxaient ses seins. Je la remonte en lui prenant la tête puis l'incite à m'embrasser. A ce stade, je lui susurre que son mec est loin sans elle, que lui aussi il doit bien s'amuser, et que si elle doit se lâcher pour de bon et profiter, c'est maintenant ou jamais. Je la mets sur le dos et lui retire son pantalon.

Elle n'est désormais vêtue que d'un simple string. Son corps étendu devant moi. Je lui demande de me sucer. Je place ma queue au niveau de son visage, elle me déboutonne le pantalon, écarte mon caleçon, et avale mon sexe dans sa bouche.Elle débute un petit va et vient au niveau de la verge, puis progressivement augmente l'amplitude. Mes mains sur son visage accompagnent son mouvement. J'entends ses soupirs, les bruits d'une bouche qui s'humidifie, les gens autour qui font la fête au camping. Si ils la voyaient me sucer. L'idée me vint de remonter un peu la fermeture de la tente, dans l'espoir, qu'un petit voyeur vient jeter un coup d'oeil. Ne s'étant aperçue de rien, elle continuait son va et vient. Sa langue glissait sous mon pénis, des boules à la verge; Elle continua ce va et vient jusqu'au moment ou elle aspira ma bite dans sa bouche. La vache. Je l'entends pousser des petits gémissements. Elle aime ça apparemment. Et elle se débrouille très bien. Sa bouche aspire, sa langue se glisse dans tous les sens. Elle fait tapoter mon sexe sur l'extrémité de sa bouche qu'elle met en coeur. Elle s'arrête un court instant et me demande si ça me plait, si je passe un bon moment. Je lui réponds que c'est assurément l'une des meilleures suceuses que j'ai croisées. Elle esquisse un sourire puis reprend son oeuvre; pendant qu'elle me pompe plus vite que jamais, je pense à Alex qui doit se bouffer les couilles.

Puis je réalise que cette fille que je ne connais pas, qui était muette au début de la soirée, est en train de me tailler l'une des meilleures pipes de ma vie. Quelle chagasse. Elle qui paraissait sainte nitouche, s'est transformée en vrai aspiro. Fatigué par la position, je lui demande de se mettre sur moi à quatre pattes, et de continuer à me sucer. Elle avait l'air habitué à cette position. Elle faisait tout ce que je lui demandais. Elle me caressait les boules avec sa main pendant que sa bouche continuer le mouvement de bas en haut, régulier, son autre main posée sur mon torse. C'était trop bon. Je l'insultais de chienne dans ma tête.

Après bien 15-20 minutes de pipe, elle demanda à faire une pause. Elle était rouge à cause de l'effort. Sa bouche était mouillée, saliveuse, et ses yeux explosés. Elle affichait comme un petit sourire de satisfaction, de contentement. Elle me confie que c'est la première fois qu'elle prend autant de plaisir à sucer un mec. Je lui rappelle qu'elle est bourrée, et qu'elle n'est pas objective. Elle me sort amusée qu'elle serait même prête à en sucer deux. J'ai du mal à le croire mais pour en être sûr, et pour voir jusqu'ou elle va aller dans son délire, j'envoie un message à Alex en lui expliquant que Pauline à le feu au cul et que si il veut en profiter, il doit se ramener au plus vite. Je me recentre sur Pauline, qui comme par automatisme ou réflexe vis à vis de mon mouvement, vient poser sa main sur mon sexe et le masturbe. Elle me regarde, la tête penchée sur le coté puis se courbe jusqu'à ce que sa bouche soit en mesure de frôler ma verge. Sa main sur mon sexe allant de bas en haut, mon sexe est au max, parsemé de veines, gonflé. Elle devait pouvoir sentir mon pou rien qu'en le tenant. Elle reprit sa pipe mais cette fois en se masturbant. Elle était étendue devant moi, une main s'agitant entre ses cuisses, l'autre tenant mon sexe qu'elle lustrait avec l'intérieur de ses joues. Mes mains se glisse sur son corps, ses seins, son cul, je commence a lui retirer son string. Elle fini de l'enlever, sans quitter sa bouche de ma bite. J'en pouvais plus. Un peu plus et je lui giclait dans la bouche. Experte ou chanceuse, elle a ralenti le mouvement puis entrepris des caresses plus douces. Alex est arrivé, et en approchant sa tête prés de l'entée, demande : « C'est ici qu'on baise ? » Il était manifestement plus bourré que lorsque l'on avait quitté le bar. Je me retourne vers Pauline et lui demande si elle accepte de laisser rentrer Alex. Elle pousse une sorte de rire soudain, un peu gênée, et accepte en hochant la tête tout en remettant une mèche derrière son oreille.

Alex rentre un peu lourdement et voyant Pauline nue, s'exclame : « vous m'avez pas attendu apparemment ». Pauline rigole et affirme qu'effectivement, on a commencé sans lui. Je la sentais un peu évaporée, béate, un peu niaise à vrai dire. En la regardant de près, on se dit qu'on peut la baiser comme on veut et lui faire faire ce qu'on veut, mais de la à sortir ou vivre avec... Elle doit être lourde parfois. Quoi qu'il en soit, elle était ici, prête à tout. Ce moment de flottement ma permis de débander un peu, quoi que je restais très excité et je savais très bien que dès qu'elle me toucherai, je rebanderai aussi « sec ». Nous étions donc trois dans la tente. Tous les trois nus. Pauline m'embrassait, pendant que sa main droite caressait ma queue, et sa main gauche celle d'Alex. Alex lui touchait les fesses, les prenait dans sa main, les empoignait. Elle se retourna. J'en ai profité pour glisser ma main entre ses cuisses. Et pendant qu'Alex lui caresse les seins et l'embrasse. Je la masturbe. Elle respire fort, des petits gémissements, des sons de grosses pelles s'échappent. Alex, d'une manière un peu rude, amène la tête de Pauline face a sa queue qui sans se faire prier l'avale nette. Je la vois désormais sucer un autre mec cette « inconnue ». J'admire sa façon de faire. Je ne sais pas si c'est de l'admiration, ou si je suis fasciné par ce que je suis en train de vivre. Une fille que je rencontre, qui a un mec, qui me suce, et qui suce un autre gars dans la même soirée. Franchement il fallait y aller. Je saisi un préservatif, et pendant qu'elle s'exécute sur Alex, je ramène lentement sa croupe vers moi. Sans trop de difficultés, la voilà prête pour une levrette.

Je regarde ses fesses, que j'ai pour la première fois véritablement en fasse. Elle a de la peau d'orange. Mais bourré, j'ai trouvé ça excitant. J'écarte un peu sa chatte, puis lentement je pénètre en elle. Je me rappellerai toujours ce petit son innocent sorti de son Larynx, désignant un plaisir, comme un soulagement. Soulagement aussi pour moi, qui pénétrait enfin cette fille. L'intérieur de sa chatte était doux, chaud, comme un velouté, une agréable chaleur humide. Je vais en accélérant, sa bouche masturbe l'autre sexe présent. Je l'entends dire qu'elle trouve ça bon. Alex lui est aux anges. Il regarde de face Pauline lui tailler une pipe. Il caresse ses cheveux. Lui balance des clins d'oeil, auxquels elle répond. J'ai attrapé Pauline par les hanches et j'y vais désormais à grands coups secs et rapides si bien que son cul vient taper mon bas ventre. Clap clap clap. Il lui est désormais impossible de continuer à sucer Alex. Celui ci s'extasie sur les grimaces que fait Pauline à chaque fois que je la pénètre. Il rigole. Elle aussi, mais très vite son visage se tend et elle pousse un cri, à mon avis très audible de l'extérieur. Elle commence à gémir de façon continue; de longs « HAAAAAHAAAAAAAA ». Pris dans l'action, je demande à Pauline si je baise mieux que son mec. Elle me répond, la voix désarticulée par la cadence, « ouiii, tu fais ça comme un dieu, continues! » Alex, lui aussi dans l'action, lui demande d'affirmer que sa bite est plus grosse que celle de son mec, et qu'elle la préfère. « C'est une petite bite mon mec»; «Si je suis là, c'est pour que l'on me fasse l'amour correctement». Il n'y avait plus de doute. Elle était à fond. On pouvait en faire ce qu'on voulait. Je lui dis entre quelques râles, qu'on ne lui fait pas l'amour, que c'est différent.

Elle répond « peu importe du moment que ça ne s'arrête pas ». On s'en ait donné à coeur joie. J'ai accéléré comme un malade. Puis Alex a pris le relais, pendant que cette pute m'aspirait les couilles. Elle n'en pouvait plus de gémir. Sa respiration, parfois se coupait, puis reprenait accompagnée de « haan haaan haaahaann »; « Ouuuuhhooohohouuuuuohouuu ». Alex n'y allait pas de main m o r t e, mais elle ne semblait pas atteinte. Je crois que c'est la première fois qu'elle se faisait prendre aussi « sauvagement ». Ses hanches étaient rouges, et ses fesses aussi, à f o r c e de pression. Ses seins pendaient et remuaient dans tous les sens. Sa peau d'orange s'étalait à chaque fois que son cul rencontrait les mains d'Alex. Je mis mes mains sur le visage de Pauline et lui fis sucer de nouveau mon appendice, qu'elle connaissait bien maintenant. L'intérieur de sa bouche était encore plus somptueux qu'au début. Elle salivait beaucoup. Ses lèvres répondaient tantôt aux ordres du va et vient d'Alex, tantôt a mon va et vient qui faisait pénétrer mon sexe plus en profondeur dans sa bouche. J'ai vu son visage se crisper, et j'ai tout de suite compris qu'elle était parvenue a l'orgasme. Exciter de tous les cotés, je ne me retient plus, je commence à éjaculer en me retirant de sa bouche, assez vite pour ne pas éjaculer dans sa bouche, mais pas assez pour épargner son visage. Malgré cela, elle semblait comblée, honorée. Son regard, qui était loin d'être la seule chose qu'elle avait de profond, est agrémenté par un sourire, tandis que son visage se tend a nouveau. Le sperme coulait sur son visage et Alex continuait de lui mettre des grands coups de queue. Il ne tarda pas lui non plus à lâcher la sauce.

Epuisée, elle s'est allongée sur le dos, en croix, le souffle rapide, l'emprunte de nos mains encore sur sa chaire. Elle attrapa une serviette en papier, et dans un rire extenué, s'essuya le visage. Alex et moi avions déjà remis nos caleçons. Seule elle était nue, les jambes entre ouvertes, la chatte béante et humide, pour ne pas dire trempée. Son visage affichait de la satisfaction. De la paix. Une quiétude absolue. Elle allait s'endormir. On l'avait baisé comme jamais, et elle s'endormait nue devant nous. Nous regardions ce corps que nous avions posséder. Les jambes de Pauline, étalées sur le sol, laisser apparaître ce que nous ne pouvions découvrir, plus tôt. De la graisse. Oui de la peau d'orange. Sur les fesses, les jambes. Son visage laissait déborder un double menton. Passé l'euphorie de la rencontre, de la fête, de l'alcool, de l'excitation primitive, nous venions de nous rendre compte que nous avions baisé une fille pas si belle que ça. On a pris quelques photos d'elle avec nos portables pour le souvenir. Elle sombrait dans un sommeil profond. Des lors nous avons appelé des gars encore éveillés, donc pas très frais, à venir voir le spectacle. Tout le monde a pris sa petite photo. Du curieux au pervers, notre chère Pauline aura gâté beaucoup de monde. Ce qui a été le plus photographié, était sa chatte et ses seins.

En ce qui nous concerne, nous nous sommes permis de prendre une photo avec nos sexes sur son visage. Apres avoir longuement discuté ensemble de ce qui c'était passé, après avoir comparé nos prouesses, nous nous sommes endormis aux cotés de Pauline. Le lendemain, vers midi pour être franc, Pauline et notre ami sont partis en nous laissant un mot dans la tente. Vincent ayant été obligé de migrer dans la grande tente, cela nous a légèrement réveillé. Pauline a voulu passer sa tête pour nous dire au revoir, et s'est faite remparée par Alex qui lui a crié de son sommeil, « dégage». J'ai pas vraiment tilté sur le coup, mais on en a beaucoup rit après.

Alors voila, aux dernières nouvelles, Pauline travaille toujours dans sa grande surface. Certains d'entre vous l'ont probablement déjà croisé sans jamais s'être douté que derrière le tablier rouge et un couvre tête, pouvait se cacher une suceuse hors pair prête à tout pour oublier la monotonie de son couple. Et toi si tu reconnais ta copine dans ce récit, saches que l'on s'est bien occupé d'elle. Qu'elle a jouit, et que ce n'est certainement pas à toi qu'elle va dire qu'elle a pris le meilleur pied de sa vie dans les bras de deux mecs. Fallait pas partir sans elle en vacance, ni penser que ta copine était à l'abri de plaire aux autres. Tu vois, non seulement tu t'es trompé, en plus elle t'a trompé, et elle a adoré ça. Et pour finir, bien d'autres l'ont en photo dorénavant ; tu n'as plus l'exclusivité. Quand tu veux tu la relaisses seule.

Clement

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